Si, traditionnellement, l'animateur est un maître illusionniste invoquant le mouvement grâce à des supports statiques, quel est son processus quand on lui donne une machine à images infinies ? Ce procédé est alimenté par la nature conflictuelle de la technologie de l'IA.
Un conformisme austère règne sur les habitants d'un grand manoir. Ils se ressemblent, marchent de la même façon, mangent de la même façon. Mais tout change lorsqu'une femme se voit offrir une orange par un étrange personnage. Elle n'a jamais vu d'orange.
Voici un monde où les hommes sont des poissons et les femmes des crevettes. La composition inspirée des chants Xẩm et Chèo suscite une réflexion sur la dualité des identités : Quelle masse d'eau porte ceux qui ne sont ni poissons ni crevettes ?
Comment la société traite-t-elle ses délinquants ? Que faire pour éviter qu'il y ait des victimes ? Un sujet difficile qui nous permet de pénétrer dans l'esprit de deux personnes qui ont commis des infractions pénales.
Lorsque le vent d'est commence à souffler, apportant de la chaleur à l'eau, les paysages se déversent et se fondent les uns dans les autres. Avec le temps, les montagnes plongent dans le sommeil.
Sur fond d'un monde extérieur difficile à saisir, nous suivons une marionnette grandeur nature qui aspire à se connecter à son propre rythme. L'animation reflète les cycles naturels du jour, utilisant uniquement la lumière existante et l'énergie de la ville.