Des animaux de compagnie, piégés dans un train lancé à toute allure, vont devoir déjouer les plans de Hans, un blaireau rancunier en quête de vengeance. Alors que le crash semble inévitable, les animaux peuvent compter sur Falcon, un raton-laveur filou et débrouillard, prêt à tout pour les sauver !
Le moment où la première lueur du soleil s'écoula à l'intérieur en agitant doucement les plis d'un sommeil léger... c'est là que le graffiti apparut. Le film donne vie à un poème en prose de Makoto Takayanagi, lu par le poète lui-même.
Un mur de 40 ans devient un site archéologique et une sculpture en sgraffite tandis que des skrffologistes révèlent des centaines de couches de peinture colorée représentant des décennies d'expression artistique, politique et culturelle.
Comme son nom l'indique, tout commence avec le paradis, et donc avec le commencement presque biblique de tous les commencements. Cependant, c'est un homme en bleu de travail qui émerge du cuboïde flottant dans les airs, et non un être divin.
Sur une musique de jazz atmosphérique du groupe flamand et norvégien Donder, le spectateur plonge dans un monde mystérieux et viscéral où textures, formes et notes respirent à l'unisson. Une fusion entre sculpture et narration animée.
Un vieil habitant de Beyrouth consulte quotidiennement la page des avis de décès et assiste à des funérailles. Sa routine de "deuil" est un voyage intime, où il s'efforce de faire face à la perte d'un être cher, d'un foyer et d'une ville.
Exploration de l'avidité insatiable du dirigeant africain et du coût de la trahison. Sur fond de néocolonialisme, le film dévoile l'illusion du pouvoir, la corruption qui gangrène en coulisses et la souffrance silencieuse d'un peuple oublié par ceux censés le guider.
Quand les règles de la réalisatrice Megan Wennberg sortent de tout contrôle, elle pense d'abord que son Utérus se venge parce qu'elle a 40 ans et ne lui a pas donné de bébé. Mais il s'avère qu'elle a des fibromes.
Sous les règles, nous sommes dans une boîte, et à l'intérieur de la boîte, il y a un jeu après l'autre. Le jeu devient un véhicule métaphorique pour explorer le conflit entre discipline sociale et libre arbitre.