Un vieil habitant de Beyrouth consulte quotidiennement la page des avis de décès et assiste à des funérailles. Sa routine de "deuil" est un voyage intime, où il s'efforce de faire face à la perte d'un être cher, d'un foyer et d'une ville.
Exploration de l'avidité insatiable du dirigeant africain et du coût de la trahison. Sur fond de néocolonialisme, le film dévoile l'illusion du pouvoir, la corruption qui gangrène en coulisses et la souffrance silencieuse d'un peuple oublié par ceux censés le guider.
Quand les règles de la réalisatrice Megan Wennberg sortent de tout contrôle, elle pense d'abord que son Utérus se venge parce qu'elle a 40 ans et ne lui a pas donné de bébé. Mais il s'avère qu'elle a des fibromes.
Sous les règles, nous sommes dans une boîte, et à l'intérieur de la boîte, il y a un jeu après l'autre. Le jeu devient un véhicule métaphorique pour explorer le conflit entre discipline sociale et libre arbitre.
Un jeune couple semble avoir une vie paisible, mais la femme souffre de l'unilatéralité de leur relation. L'homme a des relations sexuelles avec elle et la traite comme une servante, et se considère pourtant féministe et défenseur du droit des femmes.
À travers une exploration de l’ascendance bété de la réalisatrice/animatrice, s'appuyant sur l’iconographie spirituelle des Bétés et d’autres groupes tribaux de la Côte d'Ivoire, le film examine la figure divine féminine dans la sculpture de l'Afrique de l'Ouest.
Dans un village qui vit dans la crainte de Dieu, donner naissance à un "fačuk", un enfant illégitime, est un péché mortel. Dans cet environnement rural obtus et rude, la peur croît dans le cœur de la jeune femme sur le point d'accoucher.